Dans l’Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux du 30 mai 1908, on peut voir le Poète désemparé :
Je lis dans la Vie heureuse, 8 avril, cette définition de l’Amour, attribuée à Stéphane Mallarmé :
L’amour, c’est l’assonnance de deux sororellées âmes dans la splendorisation de l’éthérisme.
MALLARMÉ
Je serais reconnaissant à quiconque me pourrait donner l’origine de ce « texte ».
FRANCIS VIELÉ-GRIFFIN.